Résumé :
Yachiyo Inugami, gentil toutou, et Suzu Nekoyama, joli matou… Rencontre prédestinée ?! Mais c’est sans compter sur la présence d’Aki pour refroidir leurs ardeurs… Mikine la petite souris et la pulpeuse Yukiji viennent s’ajouter à la troupe pour rendre leur vie de lycéennes encore un peu plus trépidante…
Mon avis :
Inu & Neko se distingue sur de nombreux points par rapport aux autres mangas classiques. En effet, la première chose qui saute aux yeux, c’est sa taille un peu plus grande que la normale. Une taille qui est justifiée par sa mise en page originale. En effet, je pense que bon nombre connaissent les petits pages bonus en hauteur de 4 carrée que l’on peut souvent voir en annexe des mangas traditionnels. Ici l’auteur a fait le choix de baser le découpage de tout son manga dans ce style -là. Une idée assez déstabilisante au tout début puisque chaque scénette a son propre titre, mais ce n’est pas pour autant qu’elle n’est pas liée à la précédente. C’est là toute la fraicheur du manga, en plus de son histoire assez décalée.
Pour ce qui est de l’histoire, elle nous place dans un lycée en compagnie de Yachiyo Inugami, une jeune fille grande, qui adore les chats, malgré son nom (Inu signifie « chien » en japonais). Et nous avons aussi Suzu Nekoyama, une petite jeune fille du même âge, mais qui adore les chiens, malgré son nom (Neko signifie « chat » en japonais). Vous commencez à voir la logique ? Suzu va être complètement folle de Yachiyo et inversement, car dans ce manga, les personnages ont des attraits assez animaux. En effet Suzu va adorer le lait, et Yachiyo va aimer les caresses sur le ventre. Ce ne sont que deux petits exemples, mais plein d’autres pourraient être trouvés. Outre nos deux personnages, toute une foule d’élèves portent eux aussi des noms en relation avec des animaux, mais aussi leurs signes de reconnaissance qui caractérise l’espèce en question. C’est principalement ce qui régit l’histoire puisque chaque chapitre est une histoire différente, chapitre lui-même découpé en petite scénette de 4 cases !
C’est assez tordu comme histoire, surtout que les personnages, tous féminins, semblent se tourner autour. Ou plutôt on un faible pour l’espèce animale par lequel est caractérisé l’individu. On pourrait de l’anthropomorphisme et une humanisation des animaux. Le résultat crée quelque chose d’assez unique, drôle et reposant, mais du coup assez compliqué à juger puisqu’il n’y a pas vraiment d’histoire, assez compliquée à expliquer et décrire aussi…
En conclusion, un petit manga bien rafraichissant, à lire sans réelle prise de tête, et qu’il faut essayer surtout si on est un peu curieux !
J'ai repéré la couv' en allant faire un tour a Cultura, du coup ton avis me donne assez envie de le lire. Je l'ai ouvert distraitement et je n'avais même pas remarquer que c'était des petites scènes sous forme de carré c'est pour dire >_<
Curieux de voir ton retour dessus 🙂